LE DOOMSCROLLEUR
est une revue de presse analytique consacrée à la guerre en Ukraine.
Je doomscrolle* pour vous l'actualité de la guerre en Ukraine. J'en fais un résumé une fois par semaine (parfois moins) en sélectionnant les informations (des autres) qui m'ont semblé éclairantes sur son déroulement ou ses conséquences géopolitiques.
Tout ça parce que je dors mieux quand j'arrive à comprendre ce qui se passe.
* Le Doomscrolling : une pratique anxiogène qui consiste à passer un temps excessif devant son écran à absorber des informations négatives.
Qui vous parle ? Un ancien journaliste, qui n’a aucune compétence particulière en géopolitique ou en affaire militaire, juste une assez longue expérience professionnelle dans le filtrage de l’information. Je dirige Presse Non Stop, une toute petite entreprise de presse spécialisée dans les jeux vidéo et les nouvelles technologies.
Pourquoi je vous parle ? J’ai la conviction que l’invasion brutale de l’Ukraine par l’armée russe est un événement pivot de notre époque. Il aura des répercussions énormes dans tous les domaines (militaire, politique, énergétique, budgétaire, diplomatique, etc.), et donc directement sur nos vies pour les années à venir.
Pour essayer d’anticiper et de comprendre ses conséquences à venir, je passe beaucoup de temps à chercher des informations et des analyses pertinentes, tout en suivant au jour le jour les événements sur le terrain. C’est ma manière de me rassurer, mais dans un premier temps c’est très angoissant. C’est ce qu’on appelle en anglais le “doomscrolling”: une pratique anxiogène qui consiste à passer un temps excessif devant son écran à absorber des informations négatives.
Je ne vous le recommande pas ! Mais en ce qui me concerne, quitte à le faire de toute façon, je propose de le faire pour vous et je vous présenterai chaque vendredi une sélection réduite d’articles et de nouvelles qui m’auront semblé pertinents cette semaine-là dans l’analyse de l’événement et de ses conséquences.
D'où je vous parle ? (mes présupposés) Quelque soit mes efforts d’objectivité, je ne vais pas tenter ici de rendre compte de tous les points de vue, alors autant que mes présupposés de départ soit clairement établis:
La Russie est l’agresseur. Rien ne la menaçait directement, absolument rien ne l’obligeait à déclencher cette guerre meurtrière.
Lorsque j’écris “la Russie” dans ce cas, je désigne ses dirigeants, Vladimir Poutine en particulier, je n’englobe pas ses citoyens.
Parce que la Russie est actuellement une dictature. Ses élections sont faussées, les opposants sont emprisonnés et les libertés d’expression et d’information systématiquement limitées.